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Ecrire sans souffrir pour y trouver plus de plaisir

 

Les douleurs au poignet sont un frein à l’écriture. Un frein à l’envie d’écrire d’abord. Parce que personne n’a envie d’avoir mal en écrivant. Et puis parce qu’un geste graphique raide, tendu, crispé peut générer une écriture qui manque de lisibilité, de fluidité et de rapidité. Et cela peut devenir problématique pour la prise de notes en cours, les évaluations et surtout les examens et les concours.

 

Voici l’exemple d’une lycéenne qui, grâce à un geste graphique plus fonctionnel, a réussi à se débarrasser de douleurs vives et chroniques au poignet. Un meilleur glissé du bras lui a permis d’alléger son appui sur la feuille. Plutôt que d’écrire « à la force du poignet », l’adolescente utilise désormais les mouvements souples et fins des doigts pour inscrire ses lettres. Objectifs : gagner en lisibilité, en fluidité, en rapidité et en capacité d’accélération. La preuve en image (ci-jointe)... pour que ceux qui en ont besoin sachent qu'il est toujours assez tôt pour écrire sans douleurs.

Isabelle Rivier-Billard, graphothérapeute, spécialiste de l'écriture manuscrite à Plérin, près de Saint-Brieuc, dans les Côtes-d'Armor (22)